Un véritable coup dur pour l’industrie militaire française. À l’heure actuelle, le ministère des Armées ne s’est pas exprimé sur la question. Mais il ne faut pas être grand clerc pour imaginer l’état d’esprit du moment au sein du cabinet de Florence Parly. Du côté de Naval Group, on se refuse pour l’instant à tout commentaire. Mais la perte d’un contrat d’une telle ampleur pourrait très sérieusement plonger le groupe dans la tourmente pour quelques années.
Sous-marins : l’Australie lâche la France, Naval Group dans la tourmente
